Acheter en viager s’assimile à commercialiser une affaire immobilière en contrepartie d’un paiement en tranche viagère, qui peut se faire chaque mois ou tous les ans. L’achat en viager tient compte de plusieurs paramètres. Il est important de comprendre son fonctionnement ainsi que les enjeux qui en découlent. Nous vous donnons plus amples informations dans la suite de cet article.
Respect des clauses de vente
L’acquisition d’un bien en viager s’établit sur le postulat du hasard. Le montant fixé pour la vente est fonction du moment du décès de l’adjudicateur. C’est la raison pour laquelle, aucune des deux parties ne peut se prononcer sur le coût exact du bien. Sans une approche basée sur le principe de hasard, l’authenticité d’une vente en viager peut être remise en question, voire invalidée. Dans le cas où on assiste à la mort du propriétaire du bien immobilier 20 jours après la signature du contrat, la vente en viager sera purement et simplement résiliée. Pour en savoir plus, consultez HD Patrimoine, expert du conseil en viager à Nantes.
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Procédure légalisée
Le mode de fonctionnement sera différent en fonction du type de vente. Pour une transaction en viager occupé, le propriétaire octroie la part qui revient à l’acheteur, tout en y conservant un droit d’utilisation et de logement. Dans ce cas, le vendeur a la possibilité d’y habiter jusqu’à la fin de ses jours sur terre. Pour un viager libre, l’acheteur a la possibilité d’occuper les lieux directement à l’issue de la signature de la convention de vente.
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